Une question de recherche à investiguer
Je souhaite approfondir le sujet de la fertilité présenté sur le site (voir : Droit à la vie et Fertilité), en exposant une hypothèse de recherche concernant le processus de conception de l’être humain et le rapport avec les ressources de la masse planétaire. Cette question de recherche m’est venue en observant mes malaises intérieurs suite au discours narratif autour de la fertilité, où dans les médias, il est proposé pour sauvegarder la planète et faire face à la crise environnementale de restreindre les ressources naturelles et créer des systèmes de restrictions des naissances afin de contrôler les populations (voir : Droit à la vie ). Mon malaise vient aussi du fait que je ne comprends pas pourquoi il y a cette prédiction de la fin des ressources planétaires, alors que toute la matière de l’univers se renouvelle et peut se générer à l’infini.
Cette hypothèse est inspirée par la compréhension que j’ai des formules mathématiques des contemporains Nassim Haramein, physicien américain, et Grigori Grabovoï, scientifique russe.
Dans la conscience que le corps humain est un univers fractal holographique, l’hypothèse que j’avance est qu’il est salutaire d’encourager la fertilité du point de vue de la conception, car un enfant qui naît ne prend pas plus de ressources à la terre, mais au contraire, il est un univers complet qui vient expandre le volume de la terre.
La matière biologique d’un enfant en devenir possède tous les éléments de la création qui partent du champ informationnel non matérialisé au champ manifeste terrestre. L’hypothèse posée est que le processus de naissance fait grandir la masse de la terre, en ajoutant une quantité d’éléments qui se densifie et se cristallise du niveau invisible à matériel. Ainsi, chaque être humain est comme un univers entier qui apporte les ressources nécessaires à sa venue sur Terre et par relation, la Terre se développe grâce à ce volume nouveau d’information et s’adapte ainsi, à chaque nouvel être. Il n’y a rien de séparé, tout est unifié pour s’expandre mutuellement.
Pour le moment, je n’ai pas les compétences nécessaires pour faire des calculs avancées en physique et mathématiques. Mais j’avance pour ceux qui le peuvent, cette idée qu’il serait intéressant de trouver une méthode de validation pour voir comment à chaque nouvel enfant la masse de la terre s’agrandit et ainsi, permet à la conscience terrestre de s’adapter à l’être humain. Il serait aussi intéressant de trouver une façon de valider si les plaques tectoniques de la surface de la Terre s’éloignent et s’élargissent en même temps qu’il y a des nouvelles masses en volume humain ou autre matière qui se densifie sur son corps planétaire. Il serait aussi utile de valider comment les ressources de forêts, d’animaux, de nourritures, d’eau, bref les ressources de tous les éléments de la vie se multiplient potentiellement en même temps que l’ajout de ces volumes de masses humaines.
Pour faire ces calculs, le physicien Nassim Haramein a découvert que la masse à l’intérieur de chaque proton est identique à la masse de tous les protons de l’Univers. Autrement dit, chaque proton contient toutes les informations disponibles à chaque point du temps et de l’espace. Ses théories prouvent la nature fractale et holographique pour l’univers. En ce qui concerne notre biologie, cette formule atteste que le corps est vraiment un microcosme du macrocosme. Ainsi, non seulement chaque partie de notre corps peut être le reflet de l’ensemble, mais chaque partie peut contribuer à édifier l’ensemble !
Ensuite, Grigori Grabovoï formule que : E = V*S l’énergie , soit (E) = V(volume d’informations) S(vitesse de la perception de ce volume) (* 1).
Cette formule peut s’appliquer à la naissance d’un être humain, et en plus, à toute autre forme à matérialiser par le processus fertile de notre conscience.
Je comprends grâce à cette formule que toute matérialisation, qui est de l’énergie (E) condensé en un volume (V) d’information spécifique – dépend de la vitesse de la pensée (S) pour créer ce dit volume d’information dans la matière.
Ainsi, c’est notre niveau de conscience et notre pensée qui crée la matière. Les physiciens quantiques l’on d’ailleurs déjà nommé : tout dépend de l’observateur. Hors avec cette formule, ce qui s’ajoute à ma compréhension, c’est que tout dépend de la vitesse de pensée de l’observateur et du volume de connaissances contenu dans sa conscience.
En effet, pour Grabovoï, la masse de la matière croît avec la masse de la conscience, qui contient toutes les informations et connaissances contenues.
Ainsi, un enfant matérialise toute l’information et les connaissances téléchargées par les parents, mais aussi, toutes les informations et connaissances contenues dans l’âme, l’univers et le Créateur lui-même.
Plus nous sommes dans le centre – nommé le point zéro, le vide – plus la pureté d’intention est, plus la vitesse de la pensée augmente. Dans l’espace de ce vide, le résultat est de laisser la conscience du Créateur créer la matière au travers l’Âme qui est son égal.
« L’âme est le principe,
la conscience, la structure qui accueille le principe
Le créateur, la cause. (* 2) »
Si un groupe de personnes envoie comme information à la masse de conscience collective que nous sommes trop sur la planète, qu’il faut réduire la fertilité, que la planète va même mourir, et bien cette pensée roule à une certaine vitesse et crée la matière en engendrant la dégénérescence. Donc, il faut une pensée de volume et de niveau de conscience supérieure pour défaire la croyance limitante et engendrer une autre réalité créatrice.
Étant donné que la conscience collective est agglomérée de toutes sortes d’informations négatives limitantes, il faut donc une pensée lumineuse à vitesse V++ pour créer dans un autre sens la réalité. Nous pouvons être en masse pour créer cette pensée, ou agir selon la conscience de l’unité au travers le corps physique d’un seul individu.
C’est la puissance de la pensée qui compte, puis son action dirigée sur l’ensemble.
J’observe que beaucoup de groupes de méditations collectives se réalisent dans l’intention d’engendrer cette nouvelle réalité. Hors, à la compréhension de cette formule, je conviens qu’il revient au processus de l’individu de créer le changement, car c’est dans sa conscience que le volume d’informations peut grandir. Un groupe très nombreux, dont les participants n’ont pas une conscience élargie, comporte en général une action posée à partir de l’émotionnel ou du mental. Le volume d’information ne peut passer au travers la présence de ces filtres qui amoindrissent l’impulsion. Le résultat sera un levier de changement faible, même si le nombre est immense. C’est pourquoi l’action d’un seul individu peut prévoir sur une foule, si celui-ci est harmonisée dans tous ses corps, et qu’il maitrise le vide, nécessaire pour agir en puissance. Par extension, si un individu renait en sa lumière, c’est un univers qui se restaure et conséquemment, la masse de volume terrestre qui augmente, se purifie, ou se renouvelle. Chaque individu qui a réalisé sa renaissance contribue à édifier l’ensemble tout comme chaque guérison qu’il opère dans son propre corps.
Encore une fois, c’est la puissance de la pensée qui compte, puis son action dirigée sur l’ensemble par une impulsion directe et créatrice.
En appliquant ce principe, nous n’avons pas besoin de quitter la Terre dans l’espace pour cesser d’utiliser ses ressources, ni même de restreindre la fertilité, ou d’employer l’eugénisme, ou de contrôler les ressources, car ceci vient de croyance spécifique, qui forme une masse de conscience avec un certain nombre de connaissances et d’informations. Pour agir dans le sens inverse, il s’agit d’augmenter la masse de conscience, pour que ceci se reflète dans une nouvelle masse de matière.
À mon sens, ces formules mathématiques procurent des clefs concrètes pour comprendre comment nous pouvons créer la matière, basée sur une intention créatrice et la capacité de manifestation par la pensée pure. Par la naissance d’enfant ou de projet basé sur des technologies de lumière, nous pouvons devenir responsable de l’expansion terrestre et des enjeux globaux auxquels nous faisons face tous ensemble !
Par exemple, il serait possible d’appliquer ces formules pour revaloriser le rôle essentiel de la fertilité et de la naissance afin de changer le discours narratif du mainstream. Et ceci, tout en élargissant les perspectives et en appliquant ces mesures pour reconstruire toutes les ressources planétaires : forêt pillée, rivière polluée, quartier défavorisé…
C’est un moyen conscient de prendre responsabilité sur les erreurs planétaires !
Références bibliographiques :
1 – En lisant la trilogie d’Arcady Petrov Sauve la planète autour de toi, il est possible de voir l’intégration en pratique de cette formule par des études de cas qui sont relatées. Dans cette trilogie, il est aussi possible d’y retrouver des informations pour comprendre les défis de manifestation de la matière reliés à la vitesse de la pensée.
Hélène Laporte a aussi écrit un article qui fait la relation entre cette formule de Grigori Grabovoï et la théorie de la relativité d’Einstein: https://www.scienceofeden.com/post/_e_egal_vs_formule_grigori_grabovoi
2 – Petrov, Arcady. Sauve la planète autour de toi , volume 3 dernière partie.
*- Les déclarations réalisées dans cet article ne reflètent pas nécessairement les théories ni les opinions des scientifiques, médecins et experts qui sont cités.